Rencontre dans un lieu inattendu [June] :

Invité

Rosa Wanker était une femme bien. Elle apportait toujours son aide à ses prochains et ce depuis qu’elle était toute petite. C’était un croyante qui possédait des valeurs et des principes comme la loyauté, la fidélité, la solidarité etc. Elle les avaient inculquait à ses deux enfants. Rosa travaillait pour un antiquaire. Plus tard, elle avait crée sa propre boutique. Amy: la petite-fille de la dame âgée avait vécu chez elle pendant cinq ans. Le quotidien de la blondinette était assez tranquille. Sa mère l’avait laissé car soi-disant elle bossait à l’étranger. Or, la jeune femme avait appris très vite la vérité: Helen était en prison car elle avait tenté de tuer son ex-mari. Amy fit regretter à sa génitrice ses mensonges pendant des années. Maintenant, elle reste réservée, très renfermée, associable par peur de subir un nouvel abandon. Et c’est-ce qui arriva malheureusement. Rosa quitta le monde des vivants bien trop tôt. Amy fut anéantie: la deuxième mère, celle qui avait donné un sens à sa vie, la femme qui avait parfait son éducation, était décédée d’un accident vasculaire.
En ce jeudi 28 juillet 2010, l’enterrement de Rosa Wanker avait lieu. Elle devait être mise sous terre dans le cimetière de Fairview. Amy était venue seule, elle savait très bien qu’elle retrouverait ses proches en ce triste jour. Elle était vêtue d’un tailleur noir. Ses cheveux étaient attachés en demi-queue. Après la cérémonie de deuil qui se déroula à l’église, la suite avait lieu au cimetière. Amy se trouvait près de sa mère qui était dévastée. Elle pouvait apercevoir une jeune fille qui ne faisait pas partie de la famille. Mais Thompson l’avait déjà vu en photo dans un article situé dans la rubrique nécrologique du journal de la ville. Ce dernier retraçait la vie de Rosa Wanker Pourquoi June Walker était-elle présente? Amy décida de s’avancer vers la brunette, ses yeux étaient remplis de larmes. Ils étaient rouges, la tristesse se lisait sur son visage.

- Bonjour, je suis Amy, la petite fille de Rosa. Je sais qui vous êtes: la journaliste prometteuse qui a écrit un article très respectueux sur ma grand-mère. Je vous remercie de la fidélité apportait sur les événements de sa vie. Je suis ravie de vous rencontrer, c’est un honneur pour moi. Elle marqua une légère pause, c’était la première fois qu’elle parlait autant. Que nous vaut l’honneur de votre présence?

Invité

C'était peut-être idiot, mais jamais June n'oublierait la décédée Rosa Wanker. Elle avait été le sujet de son premier article, peut-être le plus important de sa carrière puisqu'il lui avait permis de faire ses preuves au sein du journal de la petite ville où elle venait d'emménager. Bien sûr ses supérieurs connaissaient son important parcours scolaire, mais elle avait ressenti le besoin primordiale de leur en mettre plein la vue pour leur montré qui elle était. Et ça n'avait pas loupé. Fascinée par la vie de cette vielle dame, elle avait tout cherché d'elle ! S'immiscent dans sa vie à un tel point que ça lui fut presque dur d'en décrocher. La plupart des autres journalistes auraient dis qu'elle était folle de s'imprégner autant de la vie de quelqu'un sur qui elle devait écrire un article, surtout si cette personne était morte. Mais ce n'était pas sa faute si elle avait été chargé tout de suite de la partie nécrologie du Fairview Times. En tout cas, dans les archives de la Mairie de Fairview, tout était marqué. De la tentative de meurtre de sa fille sur son ex-mari, jusqu'à la prise en garde de la jeune Amy que Rosa avait recueilli chez elle. Elle n'avait rien oublié !
Bien sûr, elle n'avait rien marqué de tout ça dans son article, évoquant juste le courage de cette antiquaire au cœur d'or qui avait tout fait pour aider sans prochain sans se . Sans oublier la date et le lieu de l'enterrement.

En somme, elle pensait avoir écrit un bonne article, sans se lancer des fleurs non plus. Tout le monde l'avait dit. Mais ça ne lui avait pas suffit, elle se sentait presque lié à la vielle dame et c'est comme ça que, le 28 juillet 2010, June alla à l'enterrement de Rosa Wanker.

Debout face au trou béant où demeurait la tombe de la vielle dame, le visage baissait et triste, June écoutait les louanges que faisait le prête de la décédée. D'après ce qu'elle avait découvert, tout était vrai sans exagération. Rosa était vraiment une femme généreuse. C'était d'ailleurs étrange comme, même dans la mort, cette dame inspirée à la jeune fille un élan d'affection. Pourtant cette dernière ne l'avait jamais connue et ne pouvait prétendre s'intéressait aux gens qu'elle connaissait avant de mourir. Tout ce qu'il lui importait c'était ce lien fort qui s'était tissé. Le visage sombre, June senti les larmes lui venirent aux yeux avant de couler le long de ses joues en fine cascade très discrète. Elle n'entendit même quelqu'un se rapprochait et c'est seulement quand cette personne l'apostropha qu'elle leva le visage vers elle.

Devant elle se tenait la chère et tendre Amy, du moins c'est la description qu'en avait faite Rosa dans une lettre à sa fille alors en prison où elle avait même glissé une photo de la petite fille blonde. La jeune fille devant la journaliste semblait dévastée par cette perte, et l'on pouvait voir ses yeux remplient de larmes très abondantes par rapport à June.

" Bonjour, je suis Amy, la petite fille de Rosa. Je sais qui vous êtes: la journaliste prometteuse qui a écrit un article très respectueux sur ma grand-mère. Je vous remercie de la fidélité apportait sur les événements de sa vie.

.
La jeune fille marqua une pause, observa son interlocutrice avant de poursuivre.

- Je suis ravie de vous rencontrer, c’est un honneur pour moi.

- Enchantée, je suis vraiment désolé pour ce qui est arrivé à votre grand-mère, vous deviez beaucoup tenir à elle..."

La jeune fille ne répondit pas et se contenta de regarder la journaliste, droit dans les yeux.

" Vous n'avez pas à me remerciez pour l'article, votre grand-mère était une personne très généreuse et aimante d'après ce que j'ai pu comprendre, et il est tout à fait normal que je lui rende hommage."

Invité

Qui était donc cette femme qui savait tout de la vie d’une inconnue? Elle s’était renseignée sur le passé de Rosa Wanker. Ceci n’était pas une simple formalité , car à la basse, elle devait juste inscrire l’identité de la femme âgée sur une liste contenant d’autre nom de personnes décédées. Son article sur Rosa avait fait mouche. June Walker avait rendu hommage à Rosa d’une manière digne de ce nom. Démarrait-elle dans le métier? Si oui, elle assurait comme une pro. Amy avait tant pleuré en lisant ce fameux article. Il était si bien écrit. La brune semblait si humble. Elle s’excusa du tragique destin de la mère de Helen. L’étudiante baissa légèrement la tête, très reconnaissante des dires de son interlocutrice, pour finalement fixer June droit dans les yeux, sans pour autant répondre à ses paroles. Amy tenait énormément à sa grand-mère, encore plus qu’à sa génitrice. Rosa lui avait inculqué les valeurs da la vie, comment ne pas flancher pendant une période, elle l’avait quasiment élevé, etc. Quand Amy eut son premier petit copain vers ses dix ans. Bon… C’était tout bête à cet âge là. C’était sa grand-mère qui lui avait appris à gérer ses émotions, à bien se comporter avec ce garçon. Elle lui avait appris plus tard la contraception et tout ce qui s’en suit. Helen n’avait pas été présente pendant une bonne partie de l’enfance de sa fille. Elle avait raté beaucoup d’événements: ça allait de la perte de dents de lait d’Amy quand elle était petite, à son passage au collège, ainsi elle avait aussi loupé cinq de ses anniversaires. Rosa avait toujours été présente à l’inverse de sa fille. Amy savait l’importance de normes, les choses essentielles de la vie grâce à sa grand-mère, toujours… . Maintenant, elle n’était plus de ce monde. Comment Amy allait-elle survivre sans son modèle? La générosité de Rosa avait également touchée la journaliste qui se tenait en face de sa petite fille. June Walker semblait avoir pleurer. Aller à un enterrement n’était pas une partie de plaisir. Mais elle paraissait très impliquée dans son article, trop soucieuse de la vie d’une femme qui ne devait être qu’à la base un nom comme un autre apparaissant dans le journal dans une rubrique lut par tous mais si insultante dans le fond… .

- Merci pour elle. Elle marqua une légère pause entre deux larmes. Pourquoi? Pourquoi êtes-vous ici? Amy ne désirait pas être méchante. Dans le fond ma grand-mère n’est qu’une femme parmi tant d’autre aux yeux de tous. De plus, elle n’est plus de ce monde… . Pourquoi?

Invité

Les yeux rivés sur les siens, June perçoit la tristesse de Amy en face d'elle, la jeune femme qui a perdu celle qui semblait compter plus que sa propre mère d'après les recherches de la journaliste, l'enterrer devait être dur. D'autres larmes vinrent d'ailleurs confirmer ces pensées alors que les deux jeunes gens se regardèrent un long moment sans bouger. Pourtant la femme en deuil ne me répondait toujours pas à l'autre qui croyait même voir, dans son regard, quelque chose qu'elle ne serait pas identifier. Mais lorsqu'Amy prit la parole, d'abord pour la remercier puis pour l'interroger, son regard devint tout de suite clair.

"Pourquoi? Pourquoi êtes-vous ici? Son ton était quelque peu accusateur, mais elle se reprit bien vite. Dans le fond ma grand-mère n’est qu’une femme parmi tant d’autre aux yeux de tous. De plus, elle n’est plus de ce monde… . Pourquoi?

D'abord piquée au vif par ses paroles, June compris bien vite que ce n'était pas pour être méchante qu'elle lui posait cette question, plus pour comprendre le pourquoi de sa présence à un enterrement où elle ne devait pas être.

La jeune journaliste baissa la tête pour se sourire à elle même, d'un sourire triste. Elle regrettait de s'être autant attachée à une femme qu'elle n'avait même pas connue et qu'elle ne connaîtrait jamais. Car bien qu'elle puisse penser, tout ce qu'elle avait lu ne suffisait pas à comprendre quelqu'un dans tous ses recoins. June essuya encore deux larmes qui perlaient avant de répondre, calmement.

" Je sais... Je sais que ça peut paraître étrange et déplacé que je vienne ici, mais j'ai écris le premier article de ma carrière sur la mort de votre grand-mère. J'ai fait beaucoup de recherches. Ça n'explique rien bien sûr, mais je me suis beaucoup investi dans ce travail et... c'est idiot... mais j'ai l'impression d'avoir connu votre grand-mère. Tout ce que j'ai pu lire d'elle montrait que c'était une personne merveilleuse, et je voulais lui rendre hommage. Pour moi, elle n'a pas été comme tous les autres..."

June avait relevé les yeux en prononçant ces paroles. Elle aurait voulu en dire tellement plus sur ce qu'elle pensait de Rosa Wanker, mais rien d'assez fort ne lui venez à l'esprit.

Invité

Aux paroles de June Walker, Amy Thompson s’effondra. Le fait de dire « Pour moi, elle n’a pas été comme les autres » eut l’effet de provoquer les larmes de la blondinette. Peut-être que June pouvait la comprendre… . Apparemment, elle s’était tellement impliquée dans l’histoire de la vie de Rosa Wanker, qu’elle la connaissait presque comme si la femme lui avait contait son expérience. C’était un moment touchant pour la petite-fille de la défunte. Elle fixa la journaliste avec une certaine admiration. Son article avait été digne dse plus grand. Et ses dires, étaient ceux qui avaient le plus ému Amy pendant toute sa vie. Il était clair que Rosa était une femme merveilleuse. Elle prenait, de son vivant, le temps de porter un regard sur son prochain pour le mener dans la bonne direction. Elle avait réalisé plusieurs bonnes actions. Aussi, elle aimait partagé sa passion pour les antiquités avec tout le monde. June était sans conteste une fille au grand cœur tout comme Rosa. Amy espérait que son interlocutrice ne soit pas trop perturbée par cet enterrement puisque c’était comme si June était une parente de feu Madame Wanker. Amy se reprit:

- Pardonnez-moi cet écart, je suis confuse. Rosa était tout pour moi… . Elle marqua une légère pause. Je vous remercie mille fois pour vos paroles qui me touchent sincèrement. J’admire votre travail. Vous allez bien? Amy remarqua des larmes qui perlaient la joue de la journaliste. Vous faites du bon boulot mais il ne faut pas que ça vous porte préjudice…. . Enfin, je ne souhaite pas que vous soyez triste… . Vous comprenez? L’émotion dans la voix d’Amy qui tremblait se faisait sentir. Elle espérait ne pas gêner la jeune femme.

Invité

June ne contrôla pas du tout ce qui se passa. D'abord, elle vit Amy se déconfire devant elle. La jeune femme, aux paroles de son interlocutrice, sembla s'effondrer sur elle-même. Les épaules voutées, de nouvelles larmes emplirent ses yeux et vinrent s'écraser sur l'herbe du cimetière. Puis, tout de suite après, ce fut au tour de June de sentir les larmes coulées sur ses joues. Déjà triste d'assister à la mise en terre de celle qui avait accompagné son premier article en racontant sa vie au fil des documents qu'elle trouvait, voir en plus sa petite fille pleurait, s'en était trop pour la journaliste, elle craquait. Elles se regardèrent toutes les deux avec un regard emprunt d'admiration l'une pour l'autre. Puis Amy prit enfin la parole.

"Pardonnez-moi cet écart, je suis confuse. Rosa était tout pour moi… . Elle marqua une légère pause. Je vous remercie mille fois pour vos paroles qui me touchent sincèrement. J’admire votre travail. Vous allez bien?Vous faites du bon boulot mais il ne faut pas que ça vous porte préjudice…. . Enfin, je ne souhaite pas que vous soyez triste… "

June sourit discrètement avant de répondre :

" Bien sûr. Je comprends tout à fait. Merci pour ces compliments et ne vous inquiétez pas je vais bien ! Je pense que je me suis particulièrement accrochée à votre grand-mère parce que c'était une femme très généreuse et exceptionnel, ça ne sera surement pas le cas pour mes prochains articles. Malheureusement, tout le monde n'est pas comme elle.

June songea aussi qu'elle ne risquait plus de s'accrocher autant à la vie d'une défunte puisque après que son article est fait sensation parmi ceux du métier, le directeur du journal l'avait promu et elle ne s'occupait plus de la partie nécrologie.

Invité

June se mit à pleurer en même temps qu’Amy. Les deux femmes se fixèrent un moment sans un bruit. La tristesse régnait dans ce lieu de morts. L’instant était emprunt d’une lourdeur. La journaliste, qui faisait face à Amy, possédait une sensibilité et une générosité hors du commun. Elle était émue par la vie d’une femme inconnue à ses yeux. Cette dernière n’avait jamais eut connaissance de son existence puisqu’elle avait rendu son dernier souffle bien avant. June s’était tellement impliquée dans son boulot, qu’elle adoptait des comportements non-professionnels. Or, la jeune femme restait un être admirable. Elle avait honoré la mémoire de la défunte Rosa Wanker sans déformer la réalité ce qui était important. June prit la parole:

" Bien sûr. Je comprends tout à fait. Merci pour ces compliments et ne vous inquiétez pas je vais bien ! Je pense que je me suis particulièrement accrochée à votre grand-mère parce que c'était une femme très généreuse et exceptionnel, ça ne sera surement pas le cas pour mes prochains articles. Malheureusement, tout le monde n'est pas comme elle". Amy répondit aussitôt:

- Elle aurait été ravie de vous connaître de son vivant. Amy fixa la tombe de sa mamie. Vous me faites penser à elle, vous paraissez si généreuse. Tout comme elle, vous avez conscience de votre prochain. Je suis touchée de rencontrer une aussi merveilleuse personnalité qu’est la vôtre. Mais en même temps, ça me rend triste que ça se fasse dans cet endroit sordide… . Je vous souhaite d’y arriver dans votre métier. Je suis confiante pour votre avenir.

Invité

June devait bien avouer qu'elle était ravie de rencontrer, enfin, la chère Amy dont elle avait vu apparaître le nom dans tous les documents qu'elle avait trouvé sur Rosa Wanker. Cette jeune fille, aussi généreuse que sa grand-mère donc cette dernière avait fait les louanges à sa fille, alors en prison. La journaliste en avait appris beaucoup grâce aux lettres qu'elles s'envoyaient.

" Elle aurait été ravie de vous connaître de son vivant. Les yeux d'Amy se posèrent sur la tombe de sa grand-mère. Vous me faites penser à elle, vous paraissez si généreuse. Tout comme elle, vous avez conscience de votre prochain. Je suis touchée de rencontrer une aussi merveilleuse personnalité qu’est la vôtre. Mais en même temps, ça me rend triste que ça se fasse dans cet endroit sordide… . Je vous souhaite d’y arriver dans votre métier. Je suis confiante pour votre avenir."

Tous ces compliments allèrent trop au cœur de June. En tant que vrai guimauve, elle aurait presque fondu de nouveau en larmes si elle ne s'était pas contrôlé. Elle remercia chaudement son interlocutrice pour toutes les compliments qu'elle venait de lui dire et dont elle avait l'impression de ne pas mériter une seule parole, avant de continuer.

"Mais vous savez, depuis le début de notre discussion, j'ai l'impression de voir la même petite fille que décrivais votre grand-mère dans ses lettres. Quelqu'un de gentille, généreuse, elle avait tout à fait raison lorsqu'elle faisait vos louages mais je regrette aussi que nous nous soyons connu dans de telles conditions..."

Invité

June semblait si reconnaissante pour des compliments qu’elle méritait amplement. Amy Thompson reconnaissait en elle: Rosa, en plus jeune. La journaliste parlait de lettres… . Mais de quoi s’agissait-il? Apparemment Helen et sa mère se contactaient quand la barman étaient prison… . La blondinette ne le savait pas. Et elle continua à ignorer cette information.

"Mais vous savez, depuis le début de notre discussion, j'ai l'impression de voir la même petite fille que décrivais votre grand-mère dans ses lettres. Quelqu'un de gentille, généreuse, elle avait tout à fait raison lorsqu'elle faisait vos louages mais je regrette aussi que nous nous soyons connu dans de telles conditions..."

- Vous êtes si gentille! Vos paroles me touchent. Je ne pense pas être cette fille… . Elle marqua une légère pause, timide, elle remit ses lunettes teintées de noir pour ne plus qu’on perçoive son regard. Peut-être, et je l’espère, qu’on se croisera un de ces quatre. On pourra discuter de vous, de votre boulot. Vous semblez si intéressante à découvrir, vous êtes incroyable et j’aimerais mieux vous connaître. Votre article m’a ému au plus haut point. Vous devez posséder une personnalité exceptionnelle! Votre générosité est sans égal.

Sur ces mots, elle serra la main de June avant de rejoindre sa mère qui fixait la tombe de Rosa Wanker et qui pleurait à chaudes larmes.

TERMINE ET VERROUILLE

» June ☼ Nobody can go back
» June veut des RP !
» June Walker • Nobody can go back...
» rencontre de deux âmes perdu {June Walker}
» Luke Palatino ! Notre mariage n'aurait jamais du avoir lieu (libre)